:: MALFEARN :: Old Town :: Fajardo Garage
Quelques heures par-ci par-là (PV Kalen)
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Mateo Fajardo
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@Kalen Blackwood & @Mateo Fajardo
Tu as horreur des jeudi matin. C’est un de ceux où tu réceptionnes une foule de pièces qu’il faut passer en revu, trier et ranger, te privant de la possibilité d’avoir des clients pendant une partie de la journée. Et bien sûr que tu ne peux pas passer outre, cette étape étant vitale pour que tu puisses mener à bien tes activités.
Tu souffles un peu, ouvre une boîte et te saisis de la copie de facture qu’on a laissée sur le dessus à ton intention, cochant rapidement sur ta liste les pièces présentent avant de déballer tout ça, t’assurant que personne n’a eu l’idée ridicule de t’envoyer une pièce endommagée. C’est que c’est déjà arrivé et tu ne tiens pas à en avoir besoin avant de t’en rendre compte.
Tu travailles sur ça une petite heure avant de sortir te poser devant ton garage avec une clope et ta bouteille d’eau. Tu poses le regard sur Rudy qui passe tous les jours vers cette heure-ci, hoches légèrement la tête quand elle te fait signe. Tu allumes ta clope en la suivant du regard jusqu’à ce qu’il se volatilise 200 mètres plus loin. Tu as mis du temps à comprendre qu’elle était une entité quand tu es arrivée ici, tant elle paraissait réelle et motivée par un objectif. Puis tu as appris qu’elle était décédée l’année avant ton arrivée, renversée par une voiture en traversant devant chez toi. Génial.
Au moins, Rudy a le bon goût de ne pas rejouer la scène de son accident tous les jours devant ton garage.
Tu souffles légèrement, avales une lente gorgée d’eau avant de commencer à te lever, décider à finir ta pénible tâche et parvenir à faire un peu de ménage avant que ton premier client se pointe.
Kalen Blackwood
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Il était parti en claquant la porte, ce n’était ni la première ni la dernière fois que la colère sourde le faisait craquer. Chaque dispute était plus violente que la précédente et toute tentative de discussion semblait actuellement impossible. Le père s’enfermait en permanence dans la pièce qui faisait office de chambre, s’adonnant à des délires incompréhensibles alors que sa santé déclinait de plus en plus. Au milieu de tout ça, Kalen essayait de survivre ou plutôt de faire en sorte que la situation ne s’envenime pas davantage. En sus de ce conflit, il devait gérer ses propres démons de plus en plus puissants et contre lesquels il avait du mal à lutter. Les mécanismes habituels semblaient caducs, y compris les pires d’entre eux, si ce n’était la marche et l’épuisement physique. Pourtant à cet instant alors que des silhouettes fantomatiques se dressaient sur son chemin, lui donnant la sinistre impression d’être suivi, son esprit était ailleurs à la recherche d’une échappatoire. Au loin il reconnut la bâtisse de sa famille, celle-là même qu’on lui avait empêché de contacter sous des prétextes fallacieux. Gat avait affirmé que c’était pour le protéger mais il n’en était plus si sûr et ne voyait pas de quels maux on avait voulu l’épargner. Une chose était sûre, la curiosité finirait par l’emporter sur le reste – au diable les promesses à l’égard d’un homme à moitié fou consumé par la maladie. L’amour filial avait ses limites et Kalen ne pouvait pas tout excuser, plus maintenant.
Mains dans les poches, il arriva près du garage devant lequel il était passé à divers reprises sans nécessairement s’arrêter. Machinalement il pouvait errer des heures, le regard perdu dans les vides et les pensées vers un horizon que nul ne pouvait voir. Peut-être pour échapper aux ombres qui s’agrippaient à ses basques, il prit le temps de ralentir pour toiser le modeste bâtiment qui ne payait pas de mine. Poussé par dieu sait quoi, il s’avança entre les voitures entreposées, en caressa la carrosserie parfois lisse, tantôt rayée à son image. Hormis les cliquetis métalliques et le vent qui sifflait à travers la porte ouverte, l’endroit était étrangement silencieux. « Y’a quelqu’un ? » Finit-il par demander en se déplaçant parmi les véhicules avant de tomber nez à nez sur un homme à qui il aurait été incapable de donner un âge. « Je me demandais si vous cherchiez de l’aide ? Un job en fait. » L’idée était venue aussi rapidement que les mots qui se bousculaient dans sa bouche. Il pouvait s’imaginer ici, il avait d'ailleurs comme un pressentiment agréable, de ceux qu’on ne peut définir ou expliquer.
Mains dans les poches, il arriva près du garage devant lequel il était passé à divers reprises sans nécessairement s’arrêter. Machinalement il pouvait errer des heures, le regard perdu dans les vides et les pensées vers un horizon que nul ne pouvait voir. Peut-être pour échapper aux ombres qui s’agrippaient à ses basques, il prit le temps de ralentir pour toiser le modeste bâtiment qui ne payait pas de mine. Poussé par dieu sait quoi, il s’avança entre les voitures entreposées, en caressa la carrosserie parfois lisse, tantôt rayée à son image. Hormis les cliquetis métalliques et le vent qui sifflait à travers la porte ouverte, l’endroit était étrangement silencieux. « Y’a quelqu’un ? » Finit-il par demander en se déplaçant parmi les véhicules avant de tomber nez à nez sur un homme à qui il aurait été incapable de donner un âge. « Je me demandais si vous cherchiez de l’aide ? Un job en fait. » L’idée était venue aussi rapidement que les mots qui se bousculaient dans sa bouche. Il pouvait s’imaginer ici, il avait d'ailleurs comme un pressentiment agréable, de ceux qu’on ne peut définir ou expliquer.
Mateo Fajardo
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@Kalen Blackwood & @Mateo Fajardo
Tu te remets au travail, place quelques pièces sur l’étagère de rangement dédiée et fronce les sourcils quand tu vois un tournevis abandonné là. Tu le récupères, le fait tourner entre tes doigts. Tu l’as peut-être laissé là, même si tu n’en as aucun souvenir, ou alors il a simplement bougé “tout seul”. Parfois, savoir exactement qui ou quoi bouge des choses n’est guère souhaitable et tu t’accommodes bien de laisser ton quotidien se joncher d'inexactitudes. Tu as un léger soupir en allant le remettre à sa place, ronchonnes peut-être un peu pour faire savoir ton mécontentement face au fouillis qui ne t’es pas attribuable. Tu inspires lentement, jettes un regard circulaire sur les lieux en te disant que tu pourrais au moins rallumer la vieille radio, le silence te pesant sur l’échine à présent. Tu n’as toutefois pas le temps de te rendre jusqu’à l’engin, fronçant les sourcils lorsque tu entends des bruits de pas, le gravier crissant sous les semelles du nouveau venu. Tu te redresses, curieux de voir de qui il s’agit et t’avances à sa rencontre quand une voix s’élève pour savoir s’il y a quelqu’un.
”Oui, oui, j’arrive.”
Tu tombes sur un jeune homme, l’âge perdu dans la vingtaine à vue de nez. Pas l’un de ceux que tu as souvenir d’avoir croisé malgré les huit ans -déjà!- que tu vis à Malfearn. Et tu n’as pas le temps de lui demander ce qui l'amène qu’il te demande pour du travail, te prenant quelque peu de court. Tu jettes un coup d’oeil vers le garage, penses aux finances de l’entreprise, une légère grimace marque ton faciès un instant.
”Hem. J’ai certainement pas de quoi te faire faire un temps plein.”
Parce que tu cracherais pas sur l’aide d’une personne certains jours de la semaine -surtout si cette histoire de réception de pièces peut être rapidement mené afin de te permettre de prendre des clients sur ces heures- mais tu tiens pas à réduire encore ton salaire en le partageant avec quelqu’un d’autre. Et tu t’attends pas vraiment à ce que l’homme ait envie d’un vague temps partiel.
”Mais je crois pas qu’on se soit déjà croisé. Je m’appelle Mateo Fajardo et toi ?”
Tu lui tends la main pour serrer la sienne, un peu navré de ne pas avoir mieux à proposer. Il a l’air sympa, le jeune.
Kalen Blackwood
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À plusieurs reprises, il avait essayé de se projeter dans un futur proche sans vif succès. Il ne savait pas vraiment ce qu’il voulait faire de sa vie, actuellement sur pause pour s’occuper d’un père malade. Sans diplôme en poche ni aptitudes particulières il partait avec un handicap certain néanmoins il devait à tout prix trouver une occupation quelconque afin de ramener un peu d’argent. S’il trouvait quelque chose qui l’intéressait, c’était un bonus non négligeable mais il était prêt à tout essayer pour les sortir de la misère dans laquelle ils étaient. En pensant devant le garage, il avait donc saisi l’opportunité qui se présentait à lui. Il n’avait pas forcément de connaissances spécifiques dans le domaine mais il se figurait qu’il pourrait apprendre sur le tas ou à minima aider à faire le ménage. Perdu dans sa contemplation silencieuse, il releva la tête en voyant arriver le gérant – ou celui qu’il identifiait en tant que tel – pour lui faire part de sa demande incongrue. Il n’y avait pas d’affiche ni de mot en ce sens, il en appelait tout bonnement à sa bonne étoile. « Pas grave, ça valait le coup de tenter. » Il haussa mollement les épaules ; il n’était ni étonné, ni déçu pour autant il se hasarda à poursuivre. « À vrai dire même si une poignée d’heures peut vous dépanner, je suis preneur. » C’était toujours ça de pris en attendant de se dégotter un contrat plus conséquent et puis son interlocuteur lui inspirait confiance, il se devait d’insister légèrement. « Enfin je ne vous oblige à rien, c’était peut-être maladroit de ma part. » Il fronça les sourcils un brin confus et fourra les mains dans ses poches après avoir serré la sienne avec enthousiasme. On pouvait en dire beaucoup d’une personne à la façon dont elle vous saluait, or, le propriétaire des lieux renforçait cette impression d’intégrité qu’il avait de prime abord. « Kalen… Blackwood. » Il marqua une courte hésitation, pas encore tout à fait habitué à user de son vrai nom après tant d’années dans le flou. La révélation avait été tardive et il y avait tout un pan de son existence dont il ignorait les détails, à commencer par les nombreux secrets qu’on lui avait cachés. Chaque jour était une découverte en soi, surtout depuis qu’ils avaient débarqué dans les environs, berceau de ses racines maternelles. « C’est normal si on ne s’est jamais croisé, je suis pas du coin, enfin pas tout à fait. Je suis né ici mais on a vécu ailleurs avec mon père avant de revenir il y a quelques mois. Il est malade alors il voulait que j’ai quelqu’un, le jour où il… enfin voilà. » A son tour il usa du tutoiement tel Mateo pour répondre à ses questions en débordant sur des aspects plus personnels à son insu. Il n’avait pas le loisir de se confier à qui que ce soit et avait visiblement tendance à trop s’ouvrir avec les inconnus depuis qu’il se promenait dans les parages. « T’es là depuis longtemps ? » Ajouta-t-il pour changer de sujet de conversation alors que ses maux de têtes revenaient à la charge.
Mateo Fajardo
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@Kalen Blackwood & @Mateo Fajardo
S’il semble se résoudre à ne rien trouver ici un instant, ce n’est que de courte durée et tu clignes des yeux, un peu étonné quand il s’avère finalement intéressé à grappiller ici et là quelques heures, puis s’embarrasse de peut-être donner l’impression de pousser ou d’insister. Tu secoues légèrement la tête.
”Oh non, c’est pas maladroit. Si ça te convient on peut faire comme ça, c’était pas un refus dissimulé. ”
Tu apprécies sa poignée de main enthousiaste, le trouves plutôt avenant et ça ne fait que te donner davantage envie de pouvoir lui offrir ces quelques heures sur lesquelles il ne rechigne pas. Quand il se présente, tu hausses un peu les sourcils face à son nom de famille, parce qu’à défaut d’être proche de cette famille, ce n’est pas pour autant que tu n’en entends pas parler et le prénom de Kalen ne te dit absolument rien. Toutefois il a tôt fait d’éclairer ta lanterne et tu te retrouves sincèrement désolé pour sa situation. Ça ne doit pas être facile de voir décliner la santé d’un membre de sa famille et t’es du genre empathique, même vis-a-vis d’inconnus.
”Oh, je me disais aussi que tu me disais rien. Et je suis désolé pour ton père, ça doit pas être facile. J’espère que tu te plais quand même dans le coin, pour ma part, ça fait 8 ans que j’ai déménagé ici.”
Et t’espères qu’il lui arrivera rien de fâcheux, parce que c’est pas l’endroit que tu conseillerais nécessairement comme destination maintenant que tu sais à quel point il s’y passe des choses étranges et à quel point le coin attire les unseelies comme un pot de miel abandonné sous une fenêtre ouverte. Quand bien même, tu n’iras pas mettre l’accent dessus ou en parler, ne tenant pas à inquiéter le jeune homme. Peut-être qu’il finira par t’en parler de lui-même, s’il se retrouve face à un quelconque phénomène.
”Alors, pour le travail.” Tu croises les bras, iras pas lui dire que c’est bien la première fois que tu as un employé. ”Je m’attend pas à ce que tu ais de l’expérience en mécanique automobile, mais c’est bon a prendre si tu as. Je devrais arriver à te trouver entre quinze et vingt heures semaines. Tu as des indisponibilités. ?”
Kalen Blackwood
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Contre toute attente sa proposition avait été acceptée ou faisait du moins l’objet d’un échange constructif avec son interlocuteur. Une vague d’espoir le traversa tout entier alors qu’il imaginait déjà ses futures journées dans l’établi à faire quelque chose d’utile du bout de ses dix doigts. Il n’était pas dupe au point de croire que l’ensemble de ses soucis allaient fondre comme neige au soleil mais il s’agissait d’un petit mieux dans un quotidien relativement chaotique. L’affaire lui permettrait de trouver un semblant de normalité, en sus de lui occuper l’esprit ponctuellement. « Merci beaucoup, vraiment. » Répéta-t-il dans un sourire enthousiaste, ravi de se rendre utile et de gagner une modeste rémunération pour se faire. « C’est compliqué oui mais c’est comme ça. » Il ne voulait pas nécessairement s’étendre sur le sujet quand bien même était-il le premier à l’avoir abordé. Les relations avec le paternel n’étaient pas au beau fixes et variaient en fonction de leurs états d’âmes respectifs. À la fin de la journée, ils restaient soudés mais l’accumulation des secrets avaient eu raison de la docilité naturelle de Kalen. « Huit ans ? Ça fait pas mal… Tu dois donc bien connaitre la ville et les gens. » En somme, tout son contraire. Le jeune homme galérait encore à se repérer dans le dédale de rues qui se ressemblaient comme deux gouttes d’eau pour tout habitant nouvellement débarqué. À coup sûr Mateo devait avoir entendu parler de sa famille – visiblement ils étaient assez connus dans le coin – toutefois il n’osa pas l’interroger là-dessus par crainte de paraitre étrange. En outre, il y avait une atmosphère particulière aux alentours qui semblait titiller ses sens en permanence même s’il ne leur accordait pas beaucoup de crédit. Au fil des ans on lui avait fait comprendre que ces images qu’il pensait voire n’étaient pas le fruit de la réalité mais d’un subconscient trop prolifique. Pour lui cela paraissait pourtant bien réel mais il avait fini par se faire à l’idée répétée mainte et mainte fois par des professionnels. Depuis qu’il était ici, les éclats étaient de plus en plus vivaces, presque comme à cet instant tandis que son front se barrait d’un pli. « Ok cool. Je ne connais pas mais je ne demande qu’à apprendre, en attendant si je peux aider à passer le balai ou nettoyer quoi que ce soit ? » Il n’insinuait pas que le garage était sale, seulement que ces activités banales étaient à sa portée en attendant monter en compétence si Mateo le souhaitait. « Non je suis à peu près libre tout le temps, sauf peut-être tard le soir. » Il devait effectivement veiller sur Gat pour s’assurer qu’il prenait correctement ses traitements, pour le reste il ne faisait pratiquement rien. « Je peux venir qu – » Percevant soudainement une présence près de la porte, il eut un moment d’absence pour se tourner vers elle avant de se reprendre en secouant la tête avec agacement. « Désolé j’ai cru entendre quelqu’un. » Se sentit-il obligé de dire pour justifier cet écart de sa part.
Mateo Fajardo
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@Kalen Blackwood & @Mateo Fajardo
Il ne fait pas mine de s’attarder sur le sujet de son paternel malade et tu ne cherches pas non plus à pousser de ce côté-là. Les parents, c’est un sujet sensible pour beaucoup de personnes dont toi alors tu es rarement intrusif avec ça. De toute façon, il y a largement plus d’intérêt à surfer sur son enthousiasme à l’idée d’avoir décroché un emploi et son intérêt pour ta connaissance de Malfearn.
“Je ne suis peut-être pas la personne la plus sociable du coin, mais avoir un commerce aide définitivement, en effet.” Ta voix est amusée alors que tu réponds, ton sourire atteignant tes yeux pour en marquer les coins de pattes d’oies aux coins. T’es du genre sympathique une fois que tu es en interaction, mais t’es pas tellement le genre qui sort dans les bars et tavernes de la région -on parlera pas des boîtes- ou qui participe à des événements sociaux. Si tu avais dû avoir un métier sans contact avec le public ton cercle de connaissances et de clients seraient assurément beaucoup plus restreint.
Tu appuies légèrement la hanche contre la voiture à côté de toi, concentré sur lui alors qu’il parle, amusé quand il tient a précisé qu’il ne peut pas rester tard le soir dans un commerce qui ferme rarement après 18h. Ton regard glisse distraitement du côté de la porte quand tu sens une présence sans en faire plus de cas, quand tu remarques le mouvement de Kalen qui semble également réagir au phénomène assez vivement pour arrêter de parler, puis remarquer l’étrangeté de son comportement et chercher à le justifier. C’est peut-être une coïncidence, peut-être que c’est ton regard qui l’a poussé à regarder aussi, mais c’est peut-être autre chose et tu te dis que tu ne devrais pas vraiment t’étonner qu’un Blackwood puisse avoir quelques dons de médiumnité, où du moins d’empathie.
”T’inquiète, ça m’arrive souvent,” que tu réponds avec nonchalance. C’est une discrète porte ouverte à prendre ou ignorer pour Kalen. Tu n’as aucune envie d’y aller frontalement sur une simple impression et faire douter qui que ce soit de ta santé mentale -comme si elle n’était pas déjà dans un état discutable-.
”Et ne t’inquiète pas, on va commencer doucement. Et les heures d’ouvertures du garage sont généralement en semaine de 8 à 18 en fonction des rendez-vous, donc tu auras de toute façon toutes tes soirées.”